«Une solution d’expatriation clé en main» : comment Holiworking facilite le télétravail à l’étranger

Le site, lancé en janvier 2021, vient de lever un million d’euros. Il propose aux entreprises et salariés de s’occuper de toutes les démarches permettant à un collaborateur de partir travailler hors de France, et ce pour des périodes allant jusqu’à douze mois. Ses premiers clients viennent de s’envoler.

Holiworking propose huit destinations : Nouvelle-Zélande, Bali (Indonésie), Cap Vert, Mexique, Île Maurice, Costa Rica, Thaïlande ou Afrique du Sud. (Illustration) Blend Images LLC/Marc Romanelli
Holiworking propose huit destinations : Nouvelle-Zélande, Bali (Indonésie), Cap Vert, Mexique, Île Maurice, Costa Rica, Thaïlande ou Afrique du Sud. (Illustration) Blend Images LLC/Marc Romanelli

    La vie de « digital nomade » vous tente, mais vous n’avez pas envie de quitter votre employeur ? Les confinements successifs vous ont donné envie de télétravail longue distance ? De plus en plus de sites vous aident dans cette démarche. Holiworking, lui, propose un pack complet de séjour de travail à l’étranger. Il s’occupe de toutes les démarches pour partir vers l’une de ces huit destinations : Nouvelle-Zélande, Bali (Indonésie), Cap Vert, Mexique, Île Maurice, Costa Rica, Thaïlande ou Afrique du Sud.

    « Nous mettons en place un cadre juridique qui permet au collaborateur en poste d’aller passer jusqu’à un an à l’étranger tout en conservant son contrat de travail », explique Yann Guyader, le directeur marketing de Holiworking. Alors que jusqu’à présent, les entreprises qui voulaient envoyer un salarié dans un pays lointain devaient passer par le détachement ou l’expatriation, avec leurs implications juridiques et financières (implantation locale, majoration du salaire…), le site propose de s’occuper de toutes les démarches, à condition que le séjour reste temporaire. « L’objectif, pour ces entreprises, n’est pas de développer une activité à l’étranger, mais bien d’offrir une expérience épanouissante à leurs employés », défend Yann Guyader.